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Armement individuel (spécificités RAH)

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Armement individuel (spécificités RAH) Empty Armement individuel (spécificités RAH)

Message par Admin Jeu 7 Mai - 20:44

Colibri > fusil d’assaut en dotation standard dans l’organisation militaire privée. Chargeur contenant quatre-cents micro-projectiles. Les MPC (Micro-projectiles Colibri) sont de minuscules éclats ronds envoyés par impulsion électromagnétique à la vitesse de 4 000 mètres à la seconde. Non seulement leur vitesse effarante leur donne une force d’impact considérable, mais en plus explosent-ils au contact des chairs une fois projetés, dardant l’intérieur de sa victime de multiples lésions et saignements internes mortels, les débris rebondissant sur les os et charcutant l’organisme de la cible. Les MPC sont capables de percer les blindages légers sans problème, quel que soit l’angle de pénétration. Le Colibri a une portée de 460 mètres (le MCP fondant après avoir dépassé cette distance). Chaque coup envoi seize MCP sur un trajet rectiligne très réduit, d’un diamètre de 3,26 mm. Ainsi, chaque chargeur permet de tirer à vingt-cinq reprises. Il pèse deux kilos en ordre de combat et a une cadence de tir théorique de 2 000 coups à la minute. Peut tirer au coup par coup, en courte et longue rafale.

Puceron > arme de poing réservée aux missions éclairs en dotation pour les unités évoluant en zone urbaine dense. Le Puceron a relégué le fusil à pompe au rang d’antiquité en lui volant ses particularités, sans pour autant hériter de ses défauts. Il profite de deux modes de tirs. L’un au coup par coup, lui octroyant la puissance d’un tir de gros calibre en mesure de trouer la cible de haut en bas en un seul coup ou en courte rafale de trois coups. Dans le premier cas, le recul de l’arme a été presque corrigé et reste en conséquence peu handicapant pour son possesseur s’il doit aligner une nouvelle cible. La balle libérée est découpée en dix parties égales à la sortie du canon et transpercera les cibles démunies de protection. Une armure, même légère, peut permettre de s’en protéger. Dans le deuxième cas le recul est inexistant. Les trois balles disposent d’un pouvoir perforant bien supérieur au premier mode de tir, et sont capables de passer à travers les armures légères. Les munitions du Lièvre font 8,87 mm de diamètre et peuvent atteindre quinze mètres de distance pour une cadence de tir théorique de trente coups à la minute dans le premier mode de tir, et soixante mètres pour 180 coups à la minute dans le second. La contenance d’un chargeur permet d’en loger douze. L’arme pèse 400 grammes en ordre de combat.

Lièvre > mitraillette d’interdiction très utile pour empêcher toute progression des piétons ennemis. A la différence des deux armes présentées ci-dessus, le Lièvre délivre des rayons à faible température (les FT) grâce à une batterie miniaturisée rechargeable pouvant assurer un engagement soutenu durant cinquante secondes. Les FT sont inoffensifs pour les blindages légers ou les armures moyennes. En revanche, ils sont très efficaces en tir direct contre les armures légères ou les personnels démunis de protections. Provoquant d’intenses brûlures aux cibles touchées, le Lièvre est particulièrement apprécié lorsqu’il s’agit d’opérer une évacuation sous la pression ennemie. Le canon fait 4 mm de diamètre et projette les rayons FT à la vitesse de 960 mètres à la seconde, qui restent létaux jusqu’à soixante-dix mètres. L’arme pèse un kilo en ordre de combat et a une cadence théorique de 3 900 coups à la minute.

Tarentule > simple tube lance-missile réutilisable, d’1m32 pour un poids de trois kilos à vide, la Tarentule est la solution miracle pour lutter contre les menaces d’appareils blindés terrestres ou aériens de petite à moyenne taille. Chaque missile pèse 700 grammes et fait la longueur du bras d’un homme moyen. La Tarentule est capable de verrouiller une cible artificielle jusqu’à 2 000 mètres en un instant et envoie le missile à une vitesse de 4 800 mètres à la seconde. Le projectile perce tout d’abord le blindage ennemi avant d’exploser à l’intérieur en faisant fondre au passage la totalité des instruments de bord et les organismes qui ne seraient pas détruits par l’explosion primitive.

Colombe > fusil de précision très apprécié par le peu de personnels autorisés à le posséder, la Colombe fait 1m42 de long pour un poids en ordre de combat de quatre kilos, et elle dispose de munitions spéciales, les Semi-Obus à Impulsion Electromagnétique (les SOIE) de 10,24 mm de diamètre, véritables cauchemars des individus cibles isolés ou des pilotes des petits véhicules ou robots. D’une portée de 1 800 mètres, la Colombe permet d’envoyer les SOIE à la vitesse de 8 000 mètres à la seconde pour une cadence théorique de 200 coups à la minute. Les SOIE transpercent les chairs ou le blindage léger avant de libérer un liquide extrêmement corrosif qui ne laisse généralement pas grand-chose de la victime et de son équipement, du véhicule ou du robot. Le recul provoqué par chaque tir est à peine perceptible et généralement ne dérange en rien les tireurs d’élite. L’embout du canon est muni d’un dispositif permettant d’étouffer les sons et d’empêcher les flammes envoyées à chaque tir d’être visibles.

Coccinelle > Grenade universelle intégrant trois modes. Mode incendiaire, interdiction et chimique. En incendiaire, elle enflamme l’atmosphère dans un rayon de trois mètres tout en provoquant un claquement sonore assourdissant pour les personnels situés à proximité. Ainsi, ceux qui survivent aux flammes se tordent de douleur les mains sur les oreilles d’où s’écoule un filet de sang. En interdiction, la Coccinelle darde les environs de multiples fragments mortels dans un rayon de dix mètres. Le souffle de l’explosion en son centre est si brutal qu’il est capable de tordre le plancher des véhicules blindés légers, voire de les retourner totalement. En chimique, des gouttes sont projetées sur quinze mètres à la ronde et grignotent la peau de la victime, jusqu’à la dépecer tout-à-fait, atrophiant les muscles par la même occasion.
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